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AFFICHE Emprunt Port Marseille Bonne Mère LITHO Société Marseillaise Crédit WW1

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PAS DE COPIE CHEZ NOUS NO COPY we sell only original period posters. ON LINEN , LINEN BACKED IN OUR OWN STUDIO. Envoi en rouleau sécurisé assuré pour la valeur. We send in secured roll insured for the value. AFFICHE EMPRUNT DE GUERRE 1914-18 WW1.

Qualité de lithographie superbe Société Marseillaise de Crédit. 75 rue Paradis Marseille - 4 rue Auber Paris. Souscrivez à l'emprunt Français. Pour la sauvegarde de vos affiches.

(exemples photos de notre travail et devis sur demande). La Société marseillaise de crédit (SMC) est une banque française appartenant au Crédit du Nord. Avec plus de 175 agences, c'est la principale banque du Sud-Est de la France, son réseau s'étendant de Béziers à Menton.

Fondée deux ans avant la faillite du Crédit mobilier. La Société marseillaise de crédit a été autorisée par décret impérial du. Sous le nom de « Société marseillaise de crédit industriel et commercial et de dépôts », les statuts ayant été reçus par maître Pascal, notaire à Marseille.

Figurent au rang des deux fondateurs : Albert Rostand. Banquier fils de Bruno Rostand. Et Étienne Émilien Rey de Foresta.

Le capital de départ est de. Actions de 500 francs chacune soit 20 millions de francs-or. Au rang des administrateurs, on trouve : Henry Bergasse.

Jean-Baptiste Pastré de la Maison Pastré frères. L'expansion rapide de Marseille fait que la banque est déjà la seizième capitalisation boursière française en 1890.

La banque est nationalisée en. Entre 1989 et 1992, Denis Bonnasse.

Vend sa société de bourse. À la Société marseillaise de crédit qui cède le contrôle de la société de bourse marseillaise Blisson Bonnasse à la Banque Pallas.

La Société marseillaise de crédit est privatisée en 1998 puis rachetée par le CCF. Vendue en 2008 au Groupe Banque populaire.

Elle est rachetée en 2010 par le Crédit du Nord. La Société marseillaise de crédit intègre le système informatique du groupe Crédit du Nord. Elle a été la première en France à installer en 1968 (agence et le siège social de Marseille) une caisse de retrait automatique. En 2013, par sa population, Marseille constitue la deuxième commune de France.

Le siège de la métropole d'Aix-Marseille-Provence. La seconde plus importante de France avec plus d'1,8 million d'habitants. Est quant à elle la troisième de France après celles de Paris et Lyon avec. Plus ancienne ville de France.

Fondée sous le nom de. Marseille est depuis l'Antiquité.

Un important port de commerce et de passage. Elle connait notamment un essor commercial considérable au cours du. Siècle devenant une ville industrielle et négociante prospère. Héritage de ce passé, le Grand port maritime de Marseille.

(GPMM) et l'économie maritime sont encore des pôles majeurs de l'activité régionale et nationale. Et Marseille reste le premier port.

Et le cinquième port européen. L'ouverture de Marseille sur la mer Méditerranée. En fait depuis ses origines une ville cosmopolite d'échanges culturels et économiques avec l'Europe du Sud.

Elle est d'ailleurs souvent considérée comme la. « Porte de l'Orient ». L'occupation humaine du site est ancienne, comme en témoigne la découverte, entre 1985 et 1991, de la grotte Cosquer. Occupée entre 27 000 et 19 000 avant le présent. Par ailleurs, en juin 2005. Des fouilles ont mis au jour des vestiges d'une implantation néolithique. Qui remonte à 6 000 avant notre ère, près de la gare Saint-Charles. Autour de la rue Bernard du Bois.

Des fragments de poterie retrouvés sur la rive sud du Vieux-Port attestent de l'occupation humaine du site au. La topographie première du site de la cité grecque est encore largement perceptible de nos jours, malgré les importantes modifications du.

Promontoire environné par la mer, le site est dominé par trois buttes successives : la butte Saint-Laurent. D'altitude en 1840, la butte des Moulins. Et la butte des Carmes environ. Fondation de la ville : la légende de Gyptis et Protis.

Article détaillé : Mythe fondateur de Marseille. Peinture de Pierre Puvis de Chavannes. La fondation de Marseille, qui remonte aux environs de 600. Est le fait de colons. Aujourd'hui Foça en Turquie.

; ce peuplement fut notamment favorisé par les Phocéens fuyant les invasions perses. La date de -600 est donnée par différents auteurs. Antiques avec des variantes et les découvertes archéologiques. Les conditions exactes de la fondation de la ville. Sont inconnues si ce n'est la légende. Rapportée par deux auteurs antiques : Justin. D'après Justin, le territoire qui forme aujourd'hui Marseille était occupé par une tribu des Ligures. Qui se serait implantée vers l'actuelle Allauch. Grecs, Protis et Simos, arrivèrent avec leur flotte pour établir une base commerciale dans le port naturel du Lacydon. Et participer au commerce de l'étain et de l'ambre.

Le jour de l'arrivée des Grecs, le chef de la tribu ligure, Nanos, organisa un festin au cours duquel sa fille Gyptis avait à choisir son époux en lui tendant une coupe d'eau. Les Grecs furent invités à se joindre au banquet et le jeune chef de ceux-ci, Protis, fut choisi, scellant ainsi la fondation d'une nouvelle cité qu'il érigea sur les bords de la corne du Lacydon. Les fouilles archéologiques ont révélé les vestiges des premières traces de l'habitat grec directement au contact d'un sol vierge sur la partie la plus occidentale de la butte Saint-Laurent.

Très vite la ville s'agrandit et s'étend jusqu'au versant oriental de la butte des Moulins. Enfin, elle englobe la troisième butte (des Carmes) avant la fin du.

Une dernière extension à l'époque hellénistique. Lui permet d'atteindre une surface d'environ 50 hectares, que la ville ne dépassera plus avant le. Durant des travaux de construction du Centre Bourse sur l'emplacement du premier port de la ville antique.

La fortification grecque de la fin du. A été retrouvée en deux points de la ville : au jardin des Vestiges.

Et sur la butte des Carmes, lors de fouilles d'urgence dans les années 1980. Une reconstruction a lieu à l'époque grecque classique, dans la seconde moitié du. Et, vers le milieu du. L'ensemble de la fortification est reconstruite en grand appareil de calcaire rose. Ce rempart est encore visible dans le jardin des Vestiges. L'intérieur de la ville est découpé en îlots, avec des rues à angle droit qui constituent des ensembles cohérents, adaptés à la topographie naturelle du site. Ainsi le long du rivage les voies ont-elles des axes changeants, tandis que les pentes de buttes sont quadrillées de façon régulière. À l'extérieur des murs, les fouilles récentes ont mis en évidence une cadastration.

Établie dès la fin du. Ainsi que l'exploitation de carrières d'argile.

Que l'on trouvait abondamment dans le substrat géologique (site de l'Alcazar) ; par la suite se développe au même emplacement une culture de la vigne. Et probablement d'autres plantations. Les nécropoles sont connues soit par des découvertes anciennes soit par la fouille, en 1990, du parc Sainte-Barbe. La Marseille grecque connaît une forte croissance et devient une cité prospère, vivant des relations commerciales fortes avec la Grèce, l'Égypte, l'Asie Mineure. La ville est indépendante et s'administre librement : elle est gouvernée par un directoire de 15 « premiers » choisis parmi 600 sénateurs Strabon.

Trois dentre eux avaient la prééminence et lessentiel du pouvoir exécutif. Marseille est le point de départ de la diffusion de l'écriture.

Qui ont appris à transcrire leur propre langue en caractères grecs. C'est aussi probablement par Marseille que sont introduits en Gaule les premiers vignobles. Marseille se retrouve confrontée à la puissance grandissante de ses voisins gaulois, en particulier des Salyens.

Pour faire face à leur menace, la cité fait appel à son alliée Rome. Devenue la grande puissance méditerranéenne. De prendre parti dans la Guerre civile. Tout en accueillant les émissaires de Pompée. Par trois légions pendant deux mois par César puis par son légat Gaius Trebonius. La ville est prise Bellum Civile. Et doit se soumettre à Rome. Les Romains la rattachent à la province Narbonnaise. À l'époque d'Auguste. La ville connaît une nouvelle grande phase de construction.

L'agora-forum est reconstruit comme en témoignent les fragments de dallages découverts par Fernand Benoit au sud des Caves de Saint-Sauveur. Le forum est bordé à l'ouest par un autre grand édifice, le théâtre, dont quelques gradins ont été conservés jusqu'à nos jours dans l'enceinte du collège du Vieux-Port. Des thermes sont installés le long du port : les vestiges, remontés sur la place Villeneuve-Bargemon.

Sont aujourd'hui visibles quasiment à leur emplacement d'origine derrière l'Hôtel de Ville. La zone portuaire est considérable. Elle s'étend sur la rive nord de la calanque du Lacydon, en suit la corne du port (Jardin des Vestiges) dont le quai est reconstruit à l'époque flavienne, et se prolonge au fond du Vieux-Port actuel.

Dans cette zone, les fouilles de la place Général-de-Gaulle ont dégagé une grande esplanade empierrée qui peut correspondre à des salines aménagées. De nombreux entrepôts à dolia. Sont connus ; une partie de l'un d'entre eux a été conservée en rez-de-chaussée du Musée des docks romains. Puis, durant le Bas Empire. La ville semble décliner légèrement au profit vraisemblablement d'Arles. Marseille se développe à nouveau à partir du. À l'intérieur de la ville, la construction d'une première grande cathédrale. Marque la puissance de l'évêque, probablement Proculus, qui tient à rivaliser avec Arles. Deux basiliques funéraires ont été retrouvées en fouille. L'une, hypothétique, fouillée pour moitié dans l'emprise des immeubles du cours Belsunce par J.

Rigoir en 1959 et par G. Bertucchi dans la construction du Centre Bourse en 1974. La seconde est clairement attestée par la fouille de M.

Sur la corne du port, comblée, se développe un habitat dont on retrouve la trace, hors les murs, jusqu'à l'actuelle bibliothèque de l'Alcazar fouille M. Sur ce site, on a pu mettre en évidence une continuité directe avec les constructions romaines ; un groupe de bâtiments se développe progressivement entre le. Siècle, avec dans un dernier état, un vaste bâtiment de type entrepôt. Les bâtiments sont abandonnés au début du. La vitalité du commerce est perceptible par les découvertes de productions céramiques venant de toute la Méditerranée, témoins privilégiés des marchandises qui affluent à Marseille durant la période ostrogothique et mérovingienne.

Puis, prise dans les remous des conflits entre rois francs, la ville semble perdre de son importance à partir de la reprise en main de la Provence par Charles Martel. Et le pillage de la ville qui l'accompagne. Haut Moyen Âge et Moyen Âge central. Marseille est pillée par les Sarrasins en 838 et par les pirates grecs en 848. En 904, l'abbaye Saint-Victor. Se voit dotée de la rive sud du port par le roi de Provence. L'époque reste incertaine, avec les démêlés des derniers carolingiens tout entiers tournés vers l'Italie et n'hésitant pas à traiter avec les Sarrasins lorsque leurs ambitions le nécessitent. Ces derniers en 923 dévastent le monastère de Saint-Victor et le territoire marseillais. À partir du milieu du.

Siècle, la situation se stabilise. Le comte de Provence choisit un frère de l'évêque Honoratus de Marseille. Fils d'Arlulf de Marseille. Guillaume, comme vicomte de Marseille.

Ses descendants seront pendant plusieurs générations soit évêque soit vicomtes de Marseille. La topographie de l'époque est difficilement perceptible. Il existe une fortification réduite sur le sommet de la butte Saint-Laurent, c'est le château Babon (castrum Babonis) des textes du. Le nom de Babon fait référence à un évêque, mentionné à propos d'un polyptyque perdu de l'abbaye de Saint-Sauveur et qui pourrait avoir exercé au cours du. La délimitation de cette enceinte est difficile car cette fortification a déjà pratiquement disparu à la fin du. Siècle et aucun vestige n'en est connu. Englobant une partie de la ville haute appartenant à l'évêque, elle devait contenir la zone du fort Saint-Jean et arriver jusqu'à la rue Fontaine-des-Vents, au voisinage de l'actuelle place de Lenche. Bouiron a mis en évidence, au contact de cette fortification, un deuxième ensemble fortifié centré autour de la Major, le bourg de la Major qui contient une partie de la butte des Moulins. Marseille se révèle à nouveau un port florissant qui participe aux Croisades. Les Marseillais sont présents en Afrique du Nord et possèdent un quartier à Saint-Jean d'Acre. Si la prise de cette dernière met un terme à l'aventure en Terre sainte. Leur présence est largement attestée en Méditerranée tout au long du Moyen Âge.

De nombreux conflits émaillent par ailleurs l'histoire entre les comtes de Provence et Marseille, qui jouit d'une certaine indépendance commerciale. La ville est « interdite. » par le légat pontifical.

Les habitants de la basse ville entrent en révolte contre l'évêque. Nouvelle « interdiction » de la ville et excommunication de ses habitants. La ville basse, après une nouvelle révolte contre l'évêque est « interdite » et excommuniée. Elle reconnaît la suzeraineté de Raymond VII de Toulouse.

Elle refuse celle de Raimond Bérenger V. Premiers accords de paix entre Charles d'Anjou. Et Marseille, qui s'est soumise.

L'indépendance économique et politique de Marseille par rapport à la France. Par le port de Marseille en 1347.

La prise de la ville par les Catalans et la destruction. Qui s'ensuit occasionnent un profond déclin à la fin du Moyen Âge. Qui a succédé à son frère Louis III d'Anjou. Arrive à Marseille et favorise par des privilèges le relèvement de la ville, qu'il considère comme une base maritime stratégique pour reconquérir son royaume de Sicile. Les Marseillais, en contrepartie, se chargent de la reconstruction des remparts. Qui souhaite équiper l'entrée du port d'une solide défense, décide de faire construire sur les ruines de lancienne tour Maubert , une nouvelle tour plus importante. Jean Pardo, ingénieur, en conçoit les plans et Jehan Robert, maçon de Tarascon.

Cette construction séchelonne de 1447. Le roi fait édifier les fondations du piédestal, puis les travaux sont suspendus faute de crédits et cest finalement grâce à laide des habitants de Marseille et notamment de la corporation des pêcheurs quils peuvent reprendre.

Cette tour, dite tour du roi René, sera englobée au. Siècle dans le fort Saint-Jean. Construit sur ordre de Louis XIV. En pèlerinage dans la région, est attiré par la curiosité de voir un rhinocéros. Cet animal est un cadeau du roi du Portugal.

Le navire faisant escale sur l'île d'If. Rend une visite à la ville et en profite pour en étudier la situation géographique et estime alors qu'elle manque de défense. En 1524, l'armée Française perd la dernière bataille d'Italie et se replie, poursuivie par ses ennemis et leurs alliés. L'armée du Saint-Empire romain germanique.

Pille les environs et assiège Marseille. La ville résiste et permet à l'armée française de se réorganiser et de contraindre l'armée du Saint-Empire. De retourner sur ses terres. La prise de la ville est évitée de peu et rend encore plus évidente la nécessité de renforcer les défenses de la ville. Ordonne la construction de deux forts royaux, l'un sur l'île d'If et l'autre, à Notre-Dame de la Garde.

Il fait ainsi bâtir le château d'If. Entre 1526 et 1529 et fait ériger un rempart en pierre à Notre-Dame de la Garde.

En 1536, les travaux de Notre-Dame de la Garde. Sont achevés, à temps pour défendre la ville contre les troupes de Charles Quint.

Qui est lui aussi repoussé. Articles connexes : Charles de Casaulx.

Et Dictature de Charles de Casaulx. Qui contrôle la ville de 1591 à son assassinat en 1596. Marseille, gravure de Martin Martini 1602. Lors des guerres de religion. Marseille parvient dans un premier temps à se tenir à l'écart des conflits et accueille de nombreux réfugiés des combats.

Elle adhère toutefois à la Ligue catholique. À la mort d'Henri III.

Marseille refuse de reconnaitre son successeur Henri de Navarre. « une gigantesque procession menée par les consuls se [rend] à la porte Réale » et érige une croix en signe de défiance de la « première [ville] christianisée du royaume. Le leader des ligueurs radicaux, Charles de Casaulx. Le Conseil de ville rejette l'autorité du Parlement d'Aix. Et déclare ne plus obéir qu'à l'autorité du duc de Mayenne.

Casaulx prend alors des initiatives menant la ville sur la voie de l'indépendance : construction d'un fort à l'entrée du port, rétablissement d'un grenier à sel et affranchissement de la gabelle. Henri de Navarre abjure la foi protestante ; il est reconnu roi par le pape.

Par le duc de Mayenne. Seule Marseille refuse de se soumettre et Casaulx demande l'aide de Philippe II d'Espagne. Des troupes françaises se massent devant les remparts de la ville ; alors qu'il accourt sur place, Casaulx est assassiné par Pierre de Libertat. Qui fait ensuite ouvrir les portes de la ville.

En apprenant la réduction de la ville Henri IV. Aurait dit : « C'est maintenant que je suis roi de France.

Marseille continue toutefois dans les années qui suivent à contester le pouvoir royal. Une émeute de pêcheurs conteste la hausse du sel. Des habitants se révoltent contre de nouveaux règlements royaux concernant les monnaies. Profitant de la Fronde aixoise.

Les Marseillais prennent les péages de Bouc-Bel-Air. Un émissaire du roi est pris à partie par la foule et mis en pièces. Se rend alors sur place pour mettre fin aux troubles.

Il annonce que Marseille sera soumise à une occupation militaire et que les institutions municipales seront complètement réformées. La porte Réale, devant laquelle les comtes de Provence. Puis les rois de France. Devaient jurer de respecter les libertés de la ville avant d'y pénétrer, est abattue. Pour surveiller la ville, le fort Saint-Jean.

Sont construits à l'entrée du port. Louis XIV fait symboliquement son entrée dans Marseille par une brèche ouverte dans les remparts, comme si la ville était conquise.

Plan de Marseille en 1720. Si Marseille a pratiquement ignoré la Renaissance. Elle se transforme à partir du.

Sous l'influence notamment de Pierre Puget. Après la soumission de la ville par Louis XIV. L'agrandissement en est décidée.

Pour la première fois, Marseille s'étend au-delà de ses murailles médiévales. Le cours aujourd'hui cours Belsunce.

Fait de Marseille un port franc, supprimant la quasi-totalité des droits. Un édit interdit aux marchandises du Levant. D'entrer dans le royaume par un autre port que Marseille, qui se retrouve ainsi en situation de monopole.

La plus ancienne de France, fondée en 1599. Reçoit la gestion du commerce français avec le Levant. Ces dispositions attirent une nouvelle prospérité grâce au commerce méditerranéen. Marseille se lance dans le commerce océanique. D'abord dans le trafic d'argent avec l'Amérique du Sud.

Puis des alcools, sucre et café avec les Antilles. Siècle, Marseille est le premier port de Méditerranée, devant Gênes. Si la peste de 1720. Porte un rude coup à la démographie de la ville. Celle-ci se rétablit vite et atteint son niveau d'avant la peste dès 1730. En dehors de la cité, le terroir. Marseillais, comprenant d'une cinquantaine de villages et de riches familles exploitantes agricoles, profite de cette prospérité. La principale richesse du terroir est le vin, qui est vendu en ville où aucun vin étranger n'est autorisé. Marche des Marseillois , chantée dans différents théâtres. Il faut attendre la Révolution française. Et l'uniformisation du territoire français (langue, monnaie, droit) pour que Marseille perde cette spécificité qu'elle a toujours tenté de conserver.

Ce n'est sans doute pas pour rien que le chant révolutionnaire de Rouget de Lisle. Plaît aux Marseillais et est appelé la Marseillaise. Marseille est officiellement débaptisée et désignée du 6 janvier au 12 février 1794 comme la ville « sans nom ». Le Chant de guerre de l'Armée du Rhin. Cet hymne, qui a été édité, parvient à Marseille qui a accueilli la Révolution.

La ville, envoyant à Paris 500 volontaires, leur offre un banquet, au cours duquel un certain François Mireur. Chante l'uvre venue d'Alsace. Elle soulève l'enthousiasme et les assistants la reprennent en chur. Quand ils défilent dans les rues de Paris, leurs voix chaudes de Méridionaux, qui lancent à toute volée les strophes enflammées, électrisent la foule.

Le nouvel hymne trouve aussitôt son nom : c'est la Marseillaise. Une plaque commémorative de Rouget de Lisle est visible rue Thubaneau. Siècle : Marseille, port des colonies.

De 1860 au début de la Première Guerre mondiale. Siècle, avec son cortège d'innovations industrielles (dont l'apparition de la navigation à vapeur), la fin de la piraterie barbaresque et les traités de libre échange des années 1860. Les conquêtes coloniales de la France à partir de 1830. Puis le percement du canal de Suez. Stimulent le commerce maritime et la prospérité de la ville, qui passe d'environ.

La zone portuaire déborde de son périmètre historique (le Vieux-Port) et s'étend à partir de 1844. Les actuels bassins de la Joliette.

Ceux du Lazaret et d'Arenc. La banque de Marseille la plus réputée est alors celle créée par Pierre Pascal II. Au début de l'Empire. En 1870, Marseille se place au premier rang des ports dEurope continentale avant de se laisser dépasser par Hambourg, Anvers et Rotterdam à la fin du siècle.

L'économie de la ville est alors basée sur le négoce et l'industrie : production de corps gras, huile et savons, sucre, semoulerie, chimie, tuilerie, réparation navale et construction mécanique. Siècle est moins florissante, la période précédant la Première Guerre mondiale. Est le point culminant de ce système « industrialo-portuaire » marseillais : l'année 1913. Est celle où le tonnage portuaire est le plus important, notamment les oléagineux. À cette époque se développent de petites entreprises créées par de nouveaux venus sud de la France, Italie.

Et d'abord spécialisées dans le négoce et la transformation des produits coloniaux, puis des armateurs, négociants, fabricants d'huile, raffineurs de sucre et savonniers, voire banquiers. Dans ce système concurrentiel et de spéculation de marchés, défini par l'individualisme industriel, l'activité repose souvent sur un système familial. Très attachés à ce modèle libéral, bénéficiant d'une main d'uvre étrangère peu qualifiée, ces patrons marseillais sont contre toute intervention « parisienne » du type d'investissement de capitaux privés ou de mise en place de réglementations publiques. Marseille célèbre cette richesse à travers les expositions coloniales.

Qui connaissent un vif succès. Le quai de la Joliette et les Messageries maritimes dans les années 1890. L'accroissement territorial et démographique de la ville est à l'origine d'un chantier majeur : l'adduction des eaux de la Durance. Décidée dès 1834 par le maire Maximin Consolat. Cette mesure s'impose d'autant plus que sévissent cette année-là une grande sécheresse et une épidémie de choléra.

Demande onze ans de travaux et l'eau de la Durance arrive le 8 juillet 1847. En 1862, afin de commémorer cet événement, l'architecte d'origine nîmoise Henry Espérandieu. Qui est inauguré en août 1869.

Ce dernier a également édifié la basilique de Notre-Dame-de-la-Garde. À partir de 1853 (consacrée en 1864) et est intervenu aussi sur le grand chantier de construction de la nouvelle cathédrale de La Major. Sur les quais de la Joliette.

Il a réalisé également de 1864 à 1874 le palais des Arts. Situé place Carli et a participé à la construction de la monumentale préfecture. L'autre grand chantier est, comme partout en France à cette époque, l'arrivée du chemin de fer. Marseille est reliée à Avignon.

Au début de l'année 1848. À Lyon en 1854, à Paris en 1857. Établie sur la butte Saint-Charles.

Fait l'objet de nombreux remaniements et aménagements jusqu'à la fin du siècle. En 1871, pendant le soulèvement de la Commune de Paris.

La ville connaît une insurrection similaire. La préfecture est bombardée et le chef des insurgés, un avocat modéré, Gaston Crémieux. Fusillé six mois plus tard, au Pharo. En 1884 sévit une nouvelle épidémie de choléra. En 1891 débutent les travaux dun réseau d'assainissement aboutissant à la construction d'un grand collecteur.

Les Nouvelles Galeries en haut de la Canebière et l'ancien tramway de Marseille. Siècle, la bourgeoisie issue de l'industrialisation négociante est peu présente dans les postes politiques. L'entre-soi familial met à distance, hormis quelques exceptions, les élites locales et les représentants de l'État. De même dans la ville, plutôt que d'intervenir au centre où se concentre l'espace industriel et ouvrier, ces industriels et négociants locaux s'installent dans les quartiers résidentiels du sud, renforçant une division de la ville entre quartiers populaires au nord et bourgeois au sud. Cette bourgeoisie ne mène pas de politique de logement ouvrier.

La vaste opération du percement de la rue de la République. Renforce d'ailleurs la prudence des investissements immobiliers après de grandes difficultés de rentabilité dues à la faillite des frères Péreire et à la reprise par les grandes familles locales. La ville fait ainsi face à un surpeuplement important, découlant du faible nombre de logements construits entre 1880 et 1914 et renforcé par le peu d'impact de la loi sur les habitations à bon marché (HBM) en raison du faible investissement du patronal local dans ces nouveaux organismes, contrairement à ce qui se réalise à cette époque ailleurs en France. La poussée démographique ouvrière et immigrée rend l'urbanisation dispersée avec un morcellement des propriétés rurales, l'éclatement urbain par des lotissements et un phénomène important d'autoconstruction de maisons modestes.

Cet éclatement urbain dans une commune à la superficie aussi vaste rend sa gouvernance difficile : « Le rapport entre une population aux revenus assez faibles et une surface énorme à entretenir, assainir et équiper, s'amenuise et rend pratiquement impossible la gestion municipale ». Pourtant, la période voit également l'essor industriel et des infrastructures portuaires. Ainsi, pour relier les quais du Port et de Rive Neuve, le pont transbordeur de Marseille. Est construit en dix-neuf mois, entre juin 1904 et décembre 1905.

Marseille connaît un terrible incendie qui détruit totalement le magasin des Nouvelles Galeries. Cause la mort de 73 personnes et endommage quelques immeubles de la Canebière. Devant l'ampleur du sinistre, les sapeurs-pompiers de Marseille, mal équipés et mal entraînés se montrent impuissants à éteindre l'incendie. Qui est présent pour le congrès du Parti radical. Et logé dans l'hôtel de Noailles faisant face aux Nouvelles Galeries.

En flammes, déclare : « N'y a-t-il donc personne pour faire régner l'ordre dans cette ville? Le bataillon de marins-pompiers de Marseille. Unité militaire, est créé par le décret-loi du 29 juillet 1939 et la ville, ayant par ailleurs de lourds problèmes financiers, est mise sous tutelle et dirigée par un administrateur extraordinaire jusqu'à la Libération en 1944. Articles détaillés : Bombardements de Marseille. Dynamitage du quartier du Vieux-Port en janvier 1943.

Un bombardement allemand cause la mort de 32 Marseillais et en blesse une soixantaine d'autres, le jour même où le bataillon de marins-pompiers, récemment créé, quitte la caserne provisoire de la rue de Lyon et prend possession de celle du boulevard de Strasbourg. À la suite du débarquement américain en Afrique du Nord.

Le 11 novembre, les troupes allemandes franchissent la ligne de démarcation. Et Marseille se retrouve occupée le 12 novembre 1942. Comme le reste de la Zone libre. La ville souffre grandement de l'occupation et en particulier, lors de la Rafle de Marseille.

Au nord du Vieux-Port qualifié de « quartier criminel » par les nazis. Dans la nuit du 22 au 23 janvier 1943. Plusieurs milliers de personnes sont arrêtées et deux jours plus tard, le 24 janvier, le général SS Oberg.

Assisté du préfet René Bousquet. Ordonne aux habitants du quartier du Vieux-Port d'évacuer leur domicile dans les deux heures, avec. Dans les deux semaines qui suivent. Sont dynamités, laissant un champ de ruines jusqu'à la Libération.

Marseille subit également plusieurs alertes aériennes. Est particulièrement dévastateur et cause la mort de plus de. En blessant environ 3 000. Des troupes d'occupation trouvèrent également la mort.

Le 15 août 1944 a lieu le débarquement en Provence. À cette occasion, l'occupant fait sauter les installations portuaires : plus de.

Sont coulés et le célèbre pont transbordeur de Marseille. De Marseille et parmi eux Gaston Defferre. Préparent la libération de la ville. Le 21 août, ils lancent l'insurrection accompagnée d'un mot d'ordre de grève générale.

Mais mal armés et peu nombreux, leur position est critique jusqu'à l'arrivée des tirailleurs algériens. Qui pénètrent à Marseille le 23.

Les combats avec larmée allemande se poursuivent plusieurs jours, jusquà la capitulation du général Hans Schaefer. Le 29, le général de Lattre de Tassigny. Assiste au défilé de l armée d'Afrique.

Des années 1950 à 1980 : les difficultés. Après guerre, l'urbanisation de la ville s'accélère.

De grands ensembles sont construits dans les Quartiers nord. Et une grande place est laissée à la circulation automobile par la construction d'autoroutes jusqu'au cur de la ville. Mais à partir des années 1970 et 1980, l'indépendance. Progressive des colonies françaises met à mal l'économie de la ville.

Marseille souffre également d'une mauvaise réputation liée à l'insécurité et aux affaires de grand banditisme French Connection. Marseille est le lieu de transit de la majorité des Pieds-Noirs. Beaucoup s'installent ensuite dans la ville et sa région. Dans un contexte de tensions autour de l'immigration et après l'assassinat d'un chauffeur de bus par un Algérien.

Déséquilibré d'après l'ambassade d'Algérie, la ville est le théâtre de violences racistes. Est mis en service le métro.

De développement économique et de rénovation urbaine est lancé. De nombreuses infrastructures nouvelles et rénovations sont réalisées dans les années 2000. La rénovation de l'Hôtel-Dieu.

En hôtel de luxe, Le Silo. L'agrandissement du Stade Vélodrome. Le Musée des civilisations de l'Europe et de la Méditerranée.

(MuCEM) ou encore la Villa Méditerranée. Marseille est capitale européenne de la culture. Cette opération reçoit près de 10 millions de visites (avec une estimation de 5 millions de visiteurs effectifs dont nombre d'entre eux venant de départements voisins, certains effectuant plusieurs visites). Note que la ville connait aujourd'hui un dynamisme économique dans le cadre du développement de son aire urbaine mais le rapport pointe encore l'importance des inégalités sociales et la fracture économique entre le sud de la ville et les Quartiers nord. L'item "AFFICHE Emprunt Port Marseille Bonne Mère LITHO Société Marseillaise Crédit WW1" est en vente depuis le mardi 28 février 2017.

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  • Epoque: Rétro (1900-1979)
  • Dimensions: 120 x 80 cm
  • Impression: Couleur
  • Thème: Transport


AFFICHE Emprunt Port Marseille Bonne Mère LITHO Société Marseillaise Crédit WW1   AFFICHE Emprunt Port Marseille Bonne Mère LITHO Société Marseillaise Crédit WW1