Pas de copie - pas de repro. MODELE D'AFFICHE TRES RARE - VERY RARE POSTER.
80 CM X 120 CM. (+ 4 cm d'entoilage idéal pour encadrement ou punaises). SUPERBE AFFICHE D'ALEXIS KOW.
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La toute première six cylindres Hotchkiss sortie des usines même année 1906... Et roulant toujours 25 ans plus tard. Hotchkiss est un constructeur automobile. Et manufacturier d'armes français, qui a produit des véhicules civils de 1904 à 1954 et des véhicules militaires jusqu'en 1969.
Ingénieur talentueux dans le domaine des armes, il ne réussit pas à s'imposer auprès des militaires américains et s'installe en France en 1867 où il crée la société qui porte son nom : Hotchkiss , implantée sur la route de Gonesse à Saint. Une filiale de l'entreprise de construction d'armes et de munitions qu'il avait fondée en 1855. Il s'installa ensuite à. Pour fabriquer des étuis métalliques, juste avant que n'éclate la. Deux canons croisés surmontés d'une grenade en feu, le tout entouré par un ceinturon fermé en boucle constituent son emblème, copie presque conforme de l'insigne militaire des. De l'« Ordnance Department ». Depuis son installation en France, Benjamin Berkeley Hotchkiss a déposé de nombreux brevets et la société est prospère. L'usine produit des armes et des explosifs et devient rapidement un fournisseur attitré de l'armée française. Benjamin Berkeley Hotchkiss décède en 1885 mais la société poursuit le développement d'une mitrailleuse automatique. Le premier modèle est produit en 1892 et est adopté par l'armée française en 1897. Après quelques modifications et améliorations, le modèle est devenu en 1914 le « pistolet Hotchkiss », l'une des mitrailleuses lourdes à gaz standard utilisée par la Grande-Bretagne, la France et le Japon. Au début du siècle, la société toujours aussi prospère, se diversifie et commence à fabriquer des composants pour les voitures puis, des véhicules complets. Hotchkiss était en passe de devenir l'une des plus grandes et des plus importantes sociétés d'ingénierie mécanique et automobile en France. Pour diversifier sa gamme, Hotchkiss, qui avait racheté.Il s'agissait d'un prototype étudié par l'ingénieur. Avec le soutien de l'Aluminium Français. Roues indépendantes, châssis en alliage léger... , elle coûtait beaucoup plus cher que ses concurrentes et ne put s'imposer.
En août, les usines d'armements de. Se fit sentir : calandre légèrement inclinée, malle intégrée et profilée. Séduisirent par le classicisme et par la distinction de leurs lignes dans les concours d'élégance. À partir de l'automne.
Sortit une nouvelle lignée de. Moteurs à soupapes en tête. Ces moteurs de 4 ou de 6 cylindres furent produits avec quelques évolutions techniques jusqu'en 1954 : le 4 cylindres. Litres (13 CV) implanté dans la série des.
Puis les 6 cylindres de. 12 HP et adopta le slogan « La voiture du juste milieu » au milieu des années 1920. En fait, la marque ralliait les suffrages d'une clientèle bourgeoise aisée qui recherchait le confort et la discrétion. Tout en continuant ses fabrications militaires, Hotchkiss se lança dans la sous-traitance de pièces détachées pour l'automobile puis, en.
Litres de cylindrée fut préparé pour la compétition. Parallèlement à la fabrication darmes, la branche française sintéresse à la mécanique générale et dès 1901 fabrique sur commande des éléments mécaniques pour divers clients dont des usines dautomobiles comme.Cela donne à la direction lidée de se lancer à son tour dans la construction automobile. Ainsworth qui dirigera la division automobile de. Pendant la Seconde Guerre mondiale. Amilcar Compound et la voiture électrique C. Sous l'égide du COA (comité d'organisation de l'automobile), Peugeot.
Prit une participation importante dans le capital d'Hotchkiss fin juillet 1942. L'Hotchkiss reprit sa place dans les cortèges officiels.
Pour ses déplacements dans Paris libéré, le général de Gaulle. Exigea une voiture française décapotable, une Hotchkiss découverte non sans mal par son état-major s'imposa. Vers 1948-49 des essais de voiture ont été réalisés à Molines, près d'Ispagnac, en Lozère.
Après la guerre, Hotchkiss reprit lentement ses activités en modifiant le camion de 2 tonnes devenu PL20 nouvelle cabine tout acier, nouveau châssis et freins. Hydrauliques et les automobiles 13. (roues indépendantes à l'avant et freins hydrauliques). Les deux modèles 864 S49 et 686 S49 « Artois. » furent remplacés par les 1350 et 2050 « Anjou.
» qui conservaient la même mécanique mais adoptaient une nouvelle carrosserie. Fut exposée l'Hotchkiss Grégoire. L'ingénieur avait encore réussi à convaincre! Son prototype, la Grégoire R , aux solutions techniques très modernes (moteur 4 cylindres à plat, 4 roues indépendantes, suspension à flexibilité variable et châssis en alliage léger) était aux antipodes des conceptions traditionnelles Hotchkiss. Le poids contenu et le Cx.Très favorables assuraient de bonnes performances et une consommation modérée, la voiture avait 15 ans d'avance sur son temps. Mais l'industrialisation s'avéra coûteuse et difficile avec en plus un prix de vente élevé obligeant à l'arrêt de la fabrication après seulement 247 exemplaires (numéros de série de 500 à 747), ce qui en fait une des plus rares automobiles jamais produites. Cette aventure aggrava les difficultés financières d'Hotchkiss et, peu après la fusion avec Delahaye. Hotchkiss abandonna la construction de voitures de tourisme.
Le dernier modèle, la Monceau. Avec le moteur de 20.
Hotchkiss fusionne avec la Société Nouvelle Brandt. À l'automne, apparut le camion PL50 5 tonnes de P. , version modernisée du PL25 de 1952. Avec des projecteurs intégrés et le moteur. Litres poussé à 70 ch. Depuis 1954, un bloc à 6 cylindres est disponible sur la version pour les sapeurs-pompiers. Le premier secours H 6 G 54 qui équipa toutes les casernes de la brigade des Sapeurs Pompiers de Paris. Servira jusqu'à la fin des années 1970. Hotchkiss signa un accord de commercialisation avec Leyland.Qui durera jusqu'à la fin 1967. Pour vendre ses camions en France. Les derniers camions Hotchkiss PL60/DH60 6 tonnes de P. Sont les premiers camions français de série équipés d'une cabine basculante. Avec une charge utile de.
La gamme des nouveaux modèles à cabine avancée utilise des moteurs de. Litres à essence (115 ch SAE) ou diesel. (91 ch SAE) avec des transmissions.À 4 ou 5 rapports. L'usine continua à produire des camions estampillés « Hotchkiss » jusqu'en 1969. Et le nom survivra pour la production militaire avant de devenir en 1966. À la suite de la fusion de Thomson-Houston et Hotchkiss-Brandt puis Thomson-CSF. Les véhicules militaires de la marque Thomson-CSF ont conservé l'emblème aux canons croisés uni à celui de Thomson.
Le nom Hotchkiss-Brandt fut utilisé pour la production de mortiers et celui de Hotchkiss-Brandt-Sogème pour le département des machines à trier le courrier. Hotchkiss commence par se faire connaître à travers de grands raids automobiles nationaux: tour de France avec une six cylindres confiée à Blériot en 1906, puis un second toujours avec une six cylindres entre les mains de Van Marcke en 1907. Ce dernier enchaînant durant la même année avec un tour d'Angleterre. Après trois victoires de suite de la marque au Rallye Monte-Carlo.En 1932 et 1933 pour Maurice Vasselle. Puis en 1934 pour Louis Gas. Ce modèle remporte encore le rallye Monte-Carlo, en 1939. Et 1949 avec Jean Trévoux.
Déjà lauréat en 1934 comme copilote, et doublé grâce à Edmond Mouche. Second , puis une ultime fois en 1950 quinze années après sa sortie, avec Marcel Becquart.Hotchkiss remporte également le Grand Critérium international de tourisme Paris-Nice. En 1929 avec cinq 12CV ex-æquos, puis en 1934 avec Jean Trévoux sur modèle. Ce dernier pilote finissant encore avec la Grand Sport Type 686 Paris-Nice - Monte-Carlo deuxième en 1935, et troisième en 1937 puis 1938.
En 1935, la marque s'impose dans la coupe de l'Auto, la coupe Brisson (meilleur temps dans les épreuves françaises de vitesse et de côte), la coupe E. Mahe (meilleur temps sans compresseur dans la côte de La Turbie), et le Prix de l'A. En 1937, Trévoux remporte -cette fois pour cette marque- la troisième édition du Rallye du Maroc. En 1939, Trévoux remporte également l'ultime édition avant-guerre de Liège-Rome-Liège. Ce conducteur obtient encore quelques secondes places avec la marque, comme au GP de Tourisme d'Alger et au GP du RACB des 10 Heures de Spa-Francorchamps en 1934 sur.
Et surtout au Monte-Carlo 1938 avec la 686 GS voiture encore troisième en 1937 avec Ion Zamfirescu. En 1939 toujours Yvonne Simon. Et Suzanne Largeot obtiennent la Coupe des Dames avec la 686 GS. Remporte la Coupe Classe illimitée lors du. Et dernier Rallye des Alpes françaises. Sur une 20CV compétition dénommée Coupe des Alpes. En 1950, Henri Peignaux et Bidu gagnent le Rallye du Mont-Blanc. Avec la Hotchkiss 686 GS. Chez les femmes enfin, Yvonne Simon. Est vainqueur du Rallye Paris - Saint-Raphaël Féminin.En 1939 sur la 686 GS. En 1937, après avoir obtenu la Coupe des Dames du Monte-Carlo en janvier de la même année associée à. « la marque Hotchkiss a un lourd et glorieux palmarès à son actif. En vitesse, elle a battu de nombreux records du monde à Montlhéry. Les concurrentes directes de la 686 GS sur le marché français étaient la Delahaye type 135.
En 1935, et étant reprise à son tour par Hotchkiss en 1954, la Bugatti Type 57. S4 E ou encore la Talbot-Lago. La 686 GS était mue par un moteur 6-cylindres à soupapes et tête, de 3 489. Exactement et pouvant développer 130CV, et équipée avec des freins hydrauliques et des suspensions de marque Grégoire (une boîte automatique électromagnétique Cotal pouvant être commandée en option). Hotchkiss 411, 412, 413, 415 et 480/486. Hotchkiss 614, 615, 620 et 680/686. Char Hotchkiss H38, qui est en fait une variante du précédent.Les chenillette Hotchkiss TT 6. Et Hotchkiss CC 2 sont des véhicules blindés conçu en 1950 pour l'armée française et adoptées massivement sous le nom de Schützenpanzer Kurz par la Bundeswehr. Il constitue un des plus gros succès d'exportation de l'industrie militaire française à cette période avec plus de 2600 exemplaires fabriqués, dont 600 sous licence en Allemagne. En 1946, Hotchkiss s'associe avec Willys-Overland. Export Corporation pour la vente et la diffusion en France de Jeep CJ 2A.
Le 16 juin 1952, Willys concède à Hotchkiss la licence de fabrication et de commercialisation des pièces détachées pour les marchés militaires et civils, puis la licence de construction de tous les types de véhicules produits par Willys-Overland. Le premier modèle monté fut la JH101.La production était effectuée dans l'usine de. Après quelques améliorations en juillet, les Jeeps prirent la dénomination «. » et furent produites à 27 614 unités. Mis à part 24 exemplaires destinés à l'administration, la totalité de la production était destinée à l'armée.
5 554 véhicules civils type JH 101, JH 102 et HWL furent aussi produits. Dès 1955, fut démarrée une chaine de fabrication et de montage sur le site de Saint Denis. L'armée française relança la production de Jeeps. À la suite des échecs des essais du « programme français de véhicule léger de liaison tout-terrain » VLR Delahaye.
La première commande porta sur 465 véhicules dénommés « Jeep Hotchkiss licence MB ». En fait, ces véhicules étaient pratiquement identiques aux modèles américains. En 1960, à partir du châssis 08961, fut produit le Mle M201- 24 volts. En 1962, la Jeep fut proposée avec un moteur diesel Indenor.
Fin 1966, les contrats expirèrent et la production fut arrêtée. En 2000, les dernières M201 - 24 V furent réformées. Versions armées de la Hotchkiss M201. Au cours de la guerre d'Algérie, l'Armée de terre équipa certaines de ses M201. Certaines des M201 étaient armées de missiles antichars SS10 filoguidés. En 1976, apparut la M201 Milan. Chaque véhicule emportait trois missiles. Fiche technique de la Hotchkiss M201.Longueur/largeur/hauteur (en m) : 3,37/1,57/1,72. Moteur : 4 cylindres en ligne à essence de 52 CV. Autonomie sur route : 400 km. Mitrailleuse Hotchkiss de 13,2 mm modèle 1929. Canon léger de 25 antichar SA-L modèle 1934.
Type 96 25 mm AT/AA Gun. Canon Hotchkiss à tir rapide de 47 mm. Chenillettes Hotchkiss TT 6 et CC 2. L'emblème ressemble à linsigne militaire américain de « lOrdnance Department » clin dil à la marque dans la fabrication d'armes. Deux canons croisés, avec dessus une grenade et entourés d'un ceinturon et la mention « Hotchkiss Paris ».
Le père d'Alexis Kow était un universitaire russe parlant sept langues, homme de lettres et journaliste, qui avait pour habitude de beaucoup voyager en Europe Occidentale. A la suite des évènements politiques de 1905, il quitta son pays. Son fils Alexis fut mis en pension à Lausanne en Suisse en 1908, suivant là une tradition familiale, puisque des oncles et tantes (côté maternel) y avaient déjà fait leur apprentissage de la langue de Molière.
Le pseudonyme Kow était un diminutif de Kojewnikow, son vrai nom. D'ailleurs, le grand père paternel d'Alex Kow était un neurologue reconnu, qui étudia et laissa son nom à une forme d'épilepsie, l.
Alex Kow coupa définitivement les ponts avec son pays natal lors de la révolution de 1917. Grâce à la générosité d'une famille helvétique, il parvint à poursuivre ses études jusqu'à intégrer le Collège Technique des Arts et Métiers de Genève. C'est dans cette famille d'accueil qu'il attrapa le virus de l'automobile. Le père possédait une splendide Rochet Schneider, et c'est à son bord que le jeune étudiant fit ses premiers tours de roues en tant que conducteur. Arrivé à Paris en 1920, il tenta sans succès de faire construire un " appareil à dessiner " de son invention.Son premier emploi, il le trouva dans le bureau d'études d'un carrossier de Levallois. Curieux de ce qui se passait dans les ateliers et avide de conseils, il y fut chaleureusement reçu par les contremaîtres, peu habitués à voir un jeune homme s'aventurer " sur le terrain ".
Conscient de ses faiblesses techniques, Kow ne manquait pas de parfaire son savoir le soir chez lui en potassant des ouvrages. Son employeur fut séduit par le coup de main de Kow, capable grâce à sa formation artistique de présenter des automobiles en perspective, ce que ne savaient pas faire les dessinateurs industriels. Les clients de la carrosserie croyaient ainsi avoir à faire avec une grosse société, dotée de moyens conséquents. Cela attirait inévitablement une nouvelle clientèle, et contribuait à la notoriété nouvelle à l'entreprise. Mais celle ci dut faire face à des revendications salariales de ses employés qui mirent à mal la trésorerie.
Par dépit, le patron vendit son affaire, pour ouvrir une maison d'édition, en ne reprenant qu'un seul salarié... Kow, tout en travaillant sur des maquettes publicitaires pour son employeur, ne cessait d'être sollicité par d'autres carrossiers, séduit par son talent rare. Mais il n'avait pas vraiment décidé de quitter son patron, et déclinait poliment les offres, ce qui incidemment avait pour effet de faire monter les enchères...Mais les affaires peinaient à décoller dans la maison d'édition. Kow proposa ses services à plusieurs constructeurs. Il eut l'embarra du choix, et sélectionna la maison Panhard et Levassor. Le premier travail de Kow pour Panhard date de 1922.
Il exposa trois idées à la marque, deux s'inspirant des recommandations du constructeur, et une selon sa propre inspiration. C'est celle ci qui fut retenue. Il s'agissait d'un torpédo reposant sur une flèche, avec le texte " Rapide comme la flèche ".Cette affiche fut reprise pour illustrer la page de couverture du livre "A Kow, 40 ans de création publicitaire automobile". La collaboration avec Panhard fut suspendue en 1923. Artiste au talent désormais reconnu, Kow, qui n'avait pas encore 25 ans en ce début des années folles, fut contacté pour assurer l'exécution des catalogues et annonces publicitaires de la marque DFP (Doriot, Flandrin et Parant). En 1924, un client particulièrement heureux de la carrosserie réalisée sur son châssis Hotchkiss, organisa la rencontre entre Kow et le directeur commercial du constructeur. Après s'être rendu compte du talent de Kow, Jacobsen c'était son nom!
, lui proposa un contrat d'exclusivité. Face au refus de l'artiste qui ne voulait pas perdre le reste de sa clientèle, Jacobsen lui organisa un vaste programme de travail, qui monopolisait l'emploi du temps de l'illustrateur. Chaque publicité état analysée, décortiquée, et répondait à une logique d'accroche du lecteur d'une extrême efficacité.Hotchkiss n'hésitait pas à s'inspirer de ce qui se faisait de mieux dans la presse américaine de l'époque. Le constructeur, positionné en moyenne gamme avec sa 12 ch, proposait une voiture qui présentait à la fois les avantages d'une grosse et d'une petite cylindrée, mais sans les inconvénients respectifs, en quelque sorte le juste milieu si cher à Hotchkiss.
La charge de travail était vraiment énorme dans les locaux de la marque aux canons, à tel point que Kow tomba malade, et fut contraint de prendre du repos à la montagne. La campagne publicitaire qu'il avait engagé fut une énorme réussite. Les usines tournaient à plein rendement. Ce succès eut de quoi rendre à Kow le tonus et la motivation nécessaire pour reprendre ses activités. A son retour à Paris, l'artiste renouait avec le directeur commercial de Panhard, Charles Perrot.
Alex Kow ne le savait pas encore, mais il allait en prendre pour plus de trente ans avec le constructeur de l'Avenue d'Ivry. Durant les années folles, entre 1918 et 1929, seule une minorité de français aisée appartenant à la haute société avait les moyens de s'offrir une voiture de marque réputée, et accessoirement de participer au " must " de cette époque : les concours d'élégance.
Kow s'impliqua avec succès dans ces concours, organisés à Paris ou dans les lieux chics aux environs de la capitale, mais aussi dans les villes d'eau ou les villes estivales. Ces réunions étaient largement couvertes par les grands journaux de l'époque. L'incidence médiatique et oui déjà! Était énorme pour les constructeurs et carrossiers qui voyaient leurs automobiles récompensées.
Le travail de l'artiste fut reconnu au Polo de Bagatelle en 1933 par l'obtention du " Premier Grand Prix ", la plus haute récompense. De nouveau, en 1934, il représentait Panhard avec une heureuse composition. Kow représentait Panhard au concours d'élégance de Bagatelle. Pour l'occasion, il imagina cette mise en scène dans laquelle son épouse et la petite fille étaient vêtues d'un même bleu, mais aussi les deux Panhard, les chaussures, le sac à main de madame, et même la laisse du chien. Les succès de Kow à Bagatelle ne firent qu'accroître sa notoriété.
Il renoua avec Hotchkiss à partir de 1935, et oeuvra à l'étude des nouvelles carrosseries pour ce constructeur. Après guerre, Kow travailla de nouveau pour Hotchkiss et Panhard. Mais comme pour ses confrères, une page se tournait, une nouvelle génération d'illustrateurs affichistes voyait le jour, proposant un style plus novateur qui ne faisait, malgré les efforts de Kow, que dater un peu plus sa griffe si personnelle. En 1969 et 1970, Alex Kow rassembla une partie de ses souvenirs dans différents numéros de la revue bimestrielle l'Anthologie Automobile, dont il assura par ailleurs l'illustration de deux couvertures (numéros 9 et 10). Avec le temps qui passe, la signature d'Alex Kow, tout comme celle de Géo Ham, de René Vincent et de quelques autres " pointures " sont devenues très recherchées. Un juste retour des choses. Peu de temps avant son décès intervenu le 12 mai 1978, un ouvrage intitulé A. KOW, 40 ans de création publicitaire automobile aux Editions de l'Automobiliste (éditeur Adrien Maeght), rendait hommage au talent de l'artiste, en publiant un condensé de ses meilleures créations. Alex Kow avait lui même surveillé, contrôlé et corrigé chaque étape de la réalisation de ce livre, avec l'éditeur.L'item "AFFICHE ANCIENNE ORIGINALE camion HOTCHKISS PL 20 25 50 AM Grégoire Alexis KOW" est en vente depuis le vendredi 10 mai 2019. Il est dans la catégorie "Collections\Calendriers, tickets, affiches\Affiches pub\ anciennes". Le vendeur est "buybuyzoe" et est localisé à/en Atelier Affiche Moulin port Salomon DAMIATTE. Cet article peut être livré partout dans le monde.