Exemples photos de notre travail. Il est écrit sur l'affiche. Président de l'Assemblée nationale.
20,9 milliards de dollars. Indice d'inégalité de genre. Le Gabon, en forme longue la République gabonaise.
Est un pays situé en Afrique centrale. Frontalier à l'est, au sud-est et au sud de la république du Congo.
Au nord-nord-ouest de la Guinée équatoriale. Et au nord du Cameroun. Sa capitale administrative est Libreville.Ce qui est aujourd'hui le Gabon est colonisé par la France. Et intégré à la colonie du Congo français. Le territoire devient une colonie distincte. En 1906 et obtient son indépendance en 1960 sous la présidence de Léon Mba.
Qui gouverne le pays jusqu'à sa mort en 1967. Lui succède et déclare le Parti démocratique gabonais.
Soit instauré au début des années 1990, le PDG reste toujours le parti dominant tandis que Bongo se maintient au pouvoir jusqu'à sa propre mort en 2009. Devient alors le nouveau président, et gouverne le pays jusqu'à son renversement par le coup d'État de 2023.C'est un pays forestier où la faune. Sont encore bien conservées et protégées dans treize parcs nationaux dont le parc national de la Lopé. Une faible population, d'importantes ressources forestières. Abondant ont permis au Gabon d'être l'un des pays les plus prospères d' Afrique. Le pays affiche l' indice de développement humain.
Le plus élevé d' Afrique subsaharienne. Selon l' Organisation des Nations unies. Disposant du deuxième revenu par habitant le plus élevé derrière la Guinée équatoriale.
Cependant, du fait de grandes inégalités dans la répartition des revenus, une proportion importante de la population reste pauvre. La langue officielle est le français. La quasi-totalité des habitants sont membres des groupes ethniques bantous. Est la religion la plus pratiquée.
Il existe des traces d'un peuplement préhistorique du Gabon remontant à 400 000 ans et se poursuivant jusqu'à l' âge du fer. Actuels, qui seraient issus de ce peuplement, sont les premiers habitants connus de ce qui est actuellement le Gabon. Ils s'installent environ 5 000 ans avant notre ère. Une vague de peuplement bantoue. Les Bantous étant eux-mêmes partis il y a 5 000 ans de la zone sahélienne en voie d'assèchement, leur expansion vers le sud et l'est date d'environ 1 000 ou 2 000 ans avant notre ère. À la différence des Pygmées, les peuples bantous sont semi-sédentaires et pratiquent l' élevage. Ils maîtrisent aussi la métallurgie. Arrivés au Gabon, ils trouvent donc un peuplement pygmée sur place. En 2021, des pierres taillées.Découvertes sur le site d'Elarmékora sont datées indirectement d'au moins 650 000 ans. La datation repose sur celle des échantillons de sol.
Prélevés depuis la surface jusqu'à la strate où se trouvaient les pierres, datés par les nucléides cosmogéniques. S'installent au Gabon à la moitié du. Siècle dans la zone de l'actuelle province de l'Estuaire. Les principaux clans étaient : les Agoulamba (rive gauche, roi Rassondji dit Georges), les Adoni île Coniquet.
Roi François, les Asiga rive gauche, roi Denis. , les Aguékaza rive droite, scindés en trois branches, celle du roi Louis Dowé. Du roi Quaben et celle du prince Glass. Siècle voit l'arrivée d'autres peuples bantous, notamment les Galoas. Au Sud-Ouest s'installent les Bapunus.
Et à l'extrémité du sud-ouest les Nzébis. En 1846, l'avant-garde fang. Atteint le confluent du Mbini. Dix ans plus tard, le peuple fang. Fait la rencontre de l'explorateur Du Chaillu.Près des sources de ces deux cours d'eau. Au cours des vingt années suivantes, les fang. Parvinrent à occuper l'ensemble du Nord-Ouest du Gabon ainsi que la Guinée espagnole.
À l'époque pré-coloniale, le Gabon est constitué de petits royaumes tribaux, avec une partie du pays qui est subordonnée au Royaume du Kongo. En 1472, les Portugais furent les premiers européens à pénétrer la province de l' Estuaire. Par la suite, l'explorateur portugais Lopo Gonçalves. Va découvrir le Cap Lopez.
Par la suite, on verra le nom Gabon apparaître sur la mappemonde de l'Afrique établie en 1493 par Juan de la Cosa. Le littoral gabonais retint particulièrement l'attention des explorateurs portugais du fait de sa proximité avec Sao Tomé. Qui était le principal centre des activités portugaises dans le Golfe de Guinée.
Dès lors, ce rivage entra dans le circuit du commerce de « troque » de la Côte occidentale d'Afrique. Les négriers portugais fréquentaient les cotés gabonaises principalement à la recherche du bois d'ébène. Les rois et chefs échangeaient souvent ces richesses ébène.Et bois d'okoumé contre des pacotilles. Le nom Gabon tire son origine du mot "Gabão" qui signifie caban.
En référence à la forme de l'Estuaire situé près de l'actuelle Libreville. Cependant, le Dictionnaire de l'Origine des noms et surnoms des pays africains africains d'Arol Ketchiemen. N'exclue pas l'hypothèse que le nom Gabon ait été emprunté aux populations côtières locales. Dès 1515, les navires français commencent à fréquenter les côtes gabonaises.Les côtes gabonaises devinrent un carrefour commercial fréquenté par les négriers européens, notamment les Portugais, Français, Hollandais îles Corisco. À la moitié du XVIIIe. Siècle, les chefs des tribus côtières et îles environnantes du Gabon vont entretenir des relations diplomatiques et commerciales avec les Européens.
Ils se livreront par la suite à la traite négrière. En commerçant notamment avec les Mpongwes. Établis dans l'Estuaire du Komo. Présents dans le delta de l' Ogooué.
Les esclaves sont d'abord destinés aux plantations de canne à sucre. Durant cette période qui s'étend jusqu'au.
Siècle, les Européens ne chercheront pas à pénétrer l'intérieur du pays; ils établiront des comptoirs. Et des fortins dans la zone littorale et les relations avec l'intérieur du pays passera par les peuples côtiers. Après la signature d'un traité le 9 Février 1839 entre Édouard Bouët-Willaumez. De la rive gauche, la France va progressivement occuper le littoral gabonais. Le 8 Mars 1842, Édouard Bouet-Willaumez.
Va signer un autre accord avec Anguilè Ré-Dowé. De la rive droite, qui va permettre à la France. D'obtenir la souveraineté du territoire situé entre le village du roi Glass. Et celui du roi Quaben. C'est en 1825 que l' American Board of Commissioners for Foreign Missions.
Décide d'envoyer des missions sur la côte d'Afrique. En janvier 1834, le Révérend John Leighton Wilson.
Du fait de nombreux décès de ses compagnons, il décide en juin 1842 de transférer son établissement au Gabon. Des deux Guinées qui deviendra Mgr.
Bessieux arrive le 29 septembre 1844 au Gabon à bord du navire français "Le Zèbre", avec son compagnon le frère Grégoire. Ensemble, ils fonderont la mission Sainte-Marie de Libreville. Ils seront suivis, le 30 juillet 1848 des sours de l'Immaculée Conception de Castres.
Les explorateurs commencent à pénétrer l'arrière-pays. Tels le Franco-Américain Paul Belloni Du Chaillu.Qui donnera son nom au massif du Chaillu. Ou Pierre Savorgnan de Brazza. Qui remonte le cours de l' Ogooué. En 1886, le Gabon devient une colonie française.
2 ans plus tard, le Gabon va fusionner avec le Congo pour donner le Gabon-Congo. Le Gabon-Congo prendra l'appellation de Congo français. À la suite d'un décret du. Le Gabon redevient une colonie distincte des autres colonies du Congo français.Le Gabon et le Congo. Sont intégrés dans l' Afrique-Équatoriale française. À la suite de l'accord franco-allemand de 1911, conclu dans le contexte de la crise d'Agadir. Le territoire gabonais va connaître sa première troncature.
Le Gabon va être dépossédé de certains territoires dans le Woleu-Ntem. Qui passeront sous occupation allemande pour faire partie intégrante du Neu Kamerun. Les autres régions et unités administratives demeureront inchangées.
En 1916, l'administration coloniale française va réorganiser le territoire gabonais. Les unités administratives vont diminuées, passant de 22 à 16. C'est à cette période que des dénominations de provinces comme le Moyen-Ogooué. À la suite de la défaite de l'Allemagne en 1916, la province du Woleu-Ntem.
Va être réintégrée au Gabon tandis que les départements de Kouilou. Seront définitivement rattachées au Moyen-Congo. En 1940, le Gabon est d'abord tenu par des forces vichystes. Mais après la brève campagne du Gabon.
Il passe, avec l'AEF, dans le camp de la France libre. Ses dirigeants coloniaux sont alors internés. En 1946, le Gabon devient un territoire d'outre-mer. En octobre 1958, la Communauté française. Étant nouvellement créée, le Conseil de gouvernement du Gabon, s'appuyant sur l'article 76 de la nouvelle Constitution de la. (version de 1958), demande la transformation du Gabon en département français. Président de ce Conseil, charge Louis Sanmarco. Administrateur colonial, de présenter la demande auprès du gouvernement métropolitain. Sanmarco reçoit une fin de non recevoir, le général de Gaulle.N'y étant pas favorable, au grand dam de Léon Mba. Comme la grande majorité des colonies françaises d' Afrique subsaharienne. Le Gabon accède à l'indépendance.
Celle-ci est contraire au souhait de son Premier ministre Léon Mba. Qui avait demandé que le Gabon devienne un département français d'outremer. Ce dernier en devient le premier président.
Il est soutenu par la France qui assure même militairement son maintien au pouvoir intervention de l'armée française en 1964 à son profit. Jusqu'à son décès en 1967. Où il est remplacé par le vice-président, Albert-Bernard Bongo. (appelé par la suite « Omar Bongo Ondimba »).
Le président Omar Bongo instaure aussitôt le monopartisme avec la création du Parti démocratique gabonais. L'exploitation des richesses naturelles du pays bois. Assure une relative prospérité au Gabon.
Le président Bongo devient un chef d'État très courtisé, notamment par la France qui en fait un de ses alliés africains les plus sûrs. En échange du soutien de l'Élysée, qui peut intervenir pour le destituer, Bongo consent à mettre à disposition de la France une partie des richesses du Gabon et en particulier son pétrole et son uranium.Sur les questions de politique internationale, le Gabon s'aligne sur Paris. En 1968, Omar Bongo, toujours sous l'influence de Jacques Foccart. Est contraint par la France de reconnaître la pseudo-indépendance du Biafra. Il doit même accepter que l'aéroport de Libreville serve de plaque tournante aux livraisons d'armes opérées en faveur du colonel Odumegwu Emeka Ojukwu.
(le dirigeant sécessionniste du Biafra). C'est aussi depuis le Gabon que les mercenaires de Bob Denard. Tentent de déstabiliser le régime marxiste-léniniste du Bénin. À la fin des années 1980.
La chute du cours du pétrole plonge le Gabon dans une grave crise économique, incitant la population à multiplier les revendications sociales et politiques. Une conférence nationale se tient en mars-avril 1990. Les premières élections législatives multipartites en presque trente ans ont lieu en septembre-octobre 1990. Après cette conférence nationale, dans le cadre d'élections où il n'est plus seul candidat, Omar Bongo est de nouveau élu en 1993, 1998 et 2005, quoique dans des conditions souvent contestées. Ministre de la Défense et fils d'Omar Bongo, devient le troisième président du Gabon, élu à l'occasion d'un scrutin majoritaire à un tour. Avec 41,79 % des suffrages exprimés, soit environ 141 000 voix sur un total de 800 000 électeurs inscrits. Crédité de 25,64 % des voix, et André Mba Obame. Le nouveau chef de l'opposition gabonaise et ancien ministre de l'Intérieur. Sont fortement contestés et à la suite de forts soupçons de fraude, des émeutes éclatent et sont violemment réprimées par les forces de l'ordre, fidèles au pouvoir.Par la suite, plusieurs enquêtes attestent que les scores ont été truqués. Dans un documentaire diffusé sur France 2. En décembre 2010, le diplomate Michel de Bonnecorse. Ex-conseiller Afrique du président Jacques Chirac.
Confirme cette version des faits. L'ambassadeur américain Charles Rivkin. Dans un télégramme transmis en novembre 2009 à la secrétaire d'État, le confirme également : « octobre 2009, Ali Bongo inverse le décompte des voix et se déclare président ». À la suite de nouvelles élections présidentielles, la commission électorale annonce qu'Ali Bongo remporte le scrutin à cinq mille voix près. L'opposition dénonce immédiatement ces résultats.
Encore plus violemment réprimées que celles de 2009 éclatent, avec comme point d'orgue l'attaque du quartier général de l'opposition par la garde présidentielle qui fait de nombreux morts. Ali Bongo est proclamé vainqueur par la Cour constitutionnelle avec 50,66 % des voix, suivi de Jean Ping. Avec 47,24 % des suffrages. Le Parlement européen adopte une résolution déclarant que les résultats de la présidentielle « manquent de transparence » et sont « extrêmement douteux ». Une unité de soldats mutinés, prétextant l'état de santé d'Ali Bongo, en convalescence après un accident vasculaire cérébral.
Prend brièvement le contrôle de Radio Gabon et transmet un appel au soulèvement, dans une apparente tentative de coup d'État. Cette insurrection échoue le même jour ; sur cinq mutins, deux sont tués et les autres arrêtés. Un nouveau Premier ministre est nommé, Julien Nkoghe Bekalé. Le pouvoir gabonais connaît une guerre des clans au sommet. Les remaniements ministériels se succèdent entre janvier et décembre 2019, alors que l'incertitude demeure sur l'état de santé d'Ali Bongo.Est nommée première ministre en juillet 2020, puis Alain Claude Bilie By Nze. Ali Bongo, annoncé comme réélu quelques heures plus tôt, est renversé par un coup d'État militaire mené par le général Brice Oligui Nguema.