AFFICHE ANCIENNE ORIGINALE DE DION BOUTON Albert BEERTS genuine period poster

  

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19 rue des Bons-Enfants Paris. Pour la sauvegarde de vos affiches. (exemples photos de notre travail et devis sur demande).

De Dion-Bouton au Salon de Paris en 1901. Vis-à-vis De Dion-Bouton type G. De Dion-Bouton type K1 de 1902. La De Dion-Bouton GP de 1908. De Dion-Bouton est un constructeur français d'automobiles.

La société, fondée en 1883. Le fabricant de jouets scientifiques Georges Bouton. Et son beau-frère Charles-Armand Trépardoux. , est à l'origine de l'essor de l'automobile.

L'entreprise s'implanta rapidement à Puteaux. Au quai National, renommé plus récemment quai De Dion-Bouton et au rond-point de La Défense. Georges Bouton meurt en 1938.

Albert de Dion en 1946. Les premiers véhicules De Dion-Bouton sont à vapeur.

De 1883 est suivi un an plus tard par le premier tracteur routier. Le comte de Dion fera sensation en s'installant à l'arrière d'une calèche. Tirée par l'un de ses tracteurs entre Paris et Rouen. À vapeur seront fabriqués jusqu'en 1904.

L'entreprise s'intéressa aux moteurs à essence. Avec l'installation d'un monocylindre à grande vitesse de rotation (grâce au distributeur de Carli et Basset) équipé de l'un des premiers allumages. Électriques sur un tricycle et en 1899.

Innovante à pont De Dion. Inventée par la firme en 1893. Ensuite, ce système célèbre sera utilisé par de nombreux constructeurs. Le Vis-à-vis est la première automobile fabriquée en grand nombre avec.

Premier constructeur à fabriquer entièrement ses voitures, De Dion-Bouton est aussi un fournisseur de moteurs pour plus de cinquante marques dont Delage. Le 2.25HP sillustre dans l'Empire russe. En 1899 grâce au concessionnaire Louis Mazy.

De Dion-Bouton est le plus grand fabricant d'automobiles du monde. La société produit quatre cents voitures et trois mille deux cents moteurs cette année-là. Ces chiffres de production seront dépassés avant la Première Guerre mondiale. Par ceux de Panhard & Levassor.

À qui elle vend le brevet du fameux Guide au début du vingtième siècle, De Dion-Bouton publie des cartes routières, activité qui débute en 1900 et qui sera cédée à l'imprimeur Vermot en 1908. En 1902, la marque lance la Populaire - type K1 ou K2.

À moteur avant en deux places 6 HP ou quatre places 8 HP. Un bloc à bicylindres apparaît en 1903. Suivi un an plus tard par un quatre cylindres.

Vedette du cortège de la Mi-Carême au Carnaval de Paris. 1903 pour la rive droite : la « Reine des Reines. » Marie Missiaux défile montée sur « Le Triomphe. », un char automobile électrique De Dion-Bouton. Au sommet d'un des mâts surmontant le char un panneau porte en grand l'inscription : Automobiles De Dion-Bouton.

Des automobiles de prestige, décorées, précèdent et suivent ce char. En 1903, un modèle De Dion-Bouton avec banquette, appartenant à l'homme d'affaires Ucal-Henri Dandurand. Fut le premier véhicule à moteur immatriculé au Québec.

Sous le numéro Q1 peint sur l'arrière par son propriétaire. Production de la type V.

Des modèles 8 HP et 9 HP sont lancés tandis que le châssis. À partir de cette année-là, De Dion-Bouton s'oriente peu à peu vers les voitures luxueuses avec les lancements de limousines. De 12 à 35 HP. La marque construit trois traîneaux à moteur pour l'expédition en Antarctique.

La même année, pour le cortège de la Mi-Carême à Paris, De Dion-Bouton s'associe aux pneumatiques Michelin pour faire défiler un char monumental de Bibendum et de Dion Bouton. Est la première automobile vendue avec un moteur V8. Marque la fin du monocylindre.

Pendant la Première Guerre mondiale. De Dion-Bouton produit pour l'armée française. Des véhicules et des moteurs d'avion.

La paix revenue, la marque reprend la fabrication de limousines incluant un modèle à moteur V8 remplacé par un huit cylindres en ligne à la fin des années 1920. Ainsi, De Dion-Bouton ne saura pas élargir sa clientèle et se replie sur la vente d'utilitaires. Durement touchée par les conséquences de la crise de 1929. Elle abandonne la production d'automobiles de tourisme en 1932.

Elle poursuivra cependant celle d'autobus et de balayeuses-arroseuses jusqu'en 1953. Ainsi que de bicyclettes pendant encore une dizaine d'années avant d'être acquise par une petite entreprise berrichonne. Rachetée par l'importateur de Rover. Elle construit un camion de pompier.

Le premier quadricycle à vapeur De Dion (1883). « Dog-car » à vapeur de 1885.

Breack à vapeur De Dion-Bouton 1898 ici pour suivre le Rallye Paper de La Vie au Grand Air. Omnibus De Dion-Bouton en 1899, conduit par Georges Bouton. Camion vapeur porteur et tracteur De Dion-Bouton. Tricycle De Dion-Bouton de 1899. De Dion-Bouton Vierrad de 1900.

Vis-à-vis De Dion-Bouton de 1901, Course de voitures anciennes Londres-Brighton. De Dion-Bouton type J de 1902. 1903 : « Le Triomphe », char automobile électrique de Marie Missiaux, « Reine des Reines » de Paris pour la rive droite.

De Dion-Bouton landaulet de 1908. Part bénéficiaire De Dion-Bouton de 1930. Article détaillé : Autocanon De Dion-Bouton. Autocanon De Dion-Bouton en position de tir.

En 1910, il y eut un véhicule qui avait reçu un Canon de 75 Modèle 1897. Pour une plus grande mobilité, il y eut une version 1913 pour tirer contre les aéronefs, ballons captifs à l'époque.

Tir de 0 à 70° en hauteur avec un frein modifié. Rotation entre 0 et 240°. Un tir toutes les quatre secondes. Mise en place en deux minutes (terrain favorable). Les premiers exemplaires furent affectés à la défense du G.

La voiture utilisée par les inspecteurs de police dans la série Les Brigades du Tigre. La voiture utilisée par la bande à. Pour l'attaque de la rue Ordener dans le film Les Brigades du Tigre. (2006) est une De Dion-Bouton. De Dion-Bouton est le premier constructeur automobile à s'imposer dans le secteur ferroviaire avec les Autorails De Dion-Bouton.

Entre 1900 et la Première Guerre mondiale, des moteurs à vapeur pour des autorails. Sont construits pour des entreprises étrangères, comme la hongroise Ganz. Ainsi que des moteurs à essence. Pour les automotrices pétroléo-électriques des Chemins de fer unis d'Arad. À Csanad (ACsEV) en Hongrie.

De Dion-Bouton fut le principal constructeur français d'autorails à voie métrique avec deux-cent-cinquante véhicules pour les réseaux secondaires. Ces autorails étaient destinés à permettre l'évolution de ces réseaux dont les trains à vapeur étaient trop lents et trop coûteux, et à faire face à la concurrence de l'automobile alors en plein développement. Aujourd'hui, certains autorails De Dion-Bouton sont préservés par des chemins de fer touristiques. Autorail De Dion-Bouton type JM à voie métrique.

Des Tramways de la Sarthe. Livré en 1924 ou 1925. Autorail De Dion-Bouton type JM-4 à voie métrique.

De l'AMTUIR ex- Chemins de fer des Côtes-du-Nord. Autorail De Dion-Bouton ZZ 13 de la ligne du Blanc - Argent. Autorail De Dion-Bouton type OC-1.

De l'ACFCdN aux Chemins de fer des Côtes-du-Nord. L'autorail De Dion-Bouton X-202 ex-CFD du MTVS.

207 du chemin de fer du Vivarais. Restauré - présenté au MTVS. N°X206 - CFBR - en attente de restauration. 201 CFA Allier - en cours de reconstruction.

204 - VFV - en attente de restauration. 206 - CFA Allier - en cours de restauration. 207 - Chemin de fer du Vivarais. Autorail M-102 et remorque R-51 à voie normale.

Des Chemins de fer de l'Hérault. De Dion sur le tricycle à vapeur et Trépardoux, en 1883 lors de la création de la société. Né le 22 novembre 1847 à Paris, et décédé en octobre 1938 à 91 ans.

Il débute dans la vie comme simple ouvrier mécanicien. Dit "Le Petit Père Bouton" par ses employés, il est fait Chevalier de la Légion d'Honneur en 1901. Il invente le distributeur d'allumage -mieux connu sous le nom de "delco", d'où la motorisation à grande vitesse-, les cardans transversaux permettant les roues indépendantes, l'embrayage à disque unique, le graissage sous pression, ainsi que le premier moteur 8 cylindres en V - L'Automobile sur la Côte d'azur, novembre 1938, p. 29, nécrologie par Louis Bonneville. Davies, L'encyclopédie mondiale des camions , éditions Manise.

Georgano, Les voitures françaises de 1886 à 1930 , éditions Gründ. Daniel Cabart et Claude Rouxel, Delage.

La belle voiture française , éditions E. Toutes les voitures françaises de A à Z , éditions E. Volume 20, année 1903, Bibliothèque nationale de France. Le nom du char automobile électrique de la Reine des Reines de Paris 1903 pour la rive droite est indiqué dans. Article paru dans le journal L'Aurore du 16 mars 1903, page 2. Voir l'article reproduit sur la base Commons. Ce char n'est pas le seul char automobile qui défile en 1903.

Le 31 mai de la même année on voit un char automobile qui défile à Roubaix. Etchépérestou , Le Journal amusant , 28 février 1903, page 14.

Voir une carte postale figurant le char de Bibendum et de Dion-Bouton défilant pour la Mi-Carême 1908 à Paris. Georges Mathieu, Le matériel moteur de la SNCF , Éditions La Vie du Rail. Stand De Dion-Bouton au Salon de l'Automobile de Paris en 1905.

Voiture de livraison De Dion-Bouton (1902). Article L'usine de Dion-Bouton à Puteaux , Les Sports modernes : {Paris-illustré}, janvier 1906, p. Souvenirs d'un précurseur , article de Jules-Albert de Dion dans Le Monde Illustré. Georges Bouton, précurseur de l'automobile , article d'Ernest Laut dans Le Monde Illustré du 12 novembre 1938. Jean Fondin, Hauts-de-Seine berceau de l'automobile , éditions E.

/Colline de l'Automobile, 1992. René Ville, De Dion-Bouton en confirmations , Édité par l'Amicale De Dion-Bouton, 2003. René Ville, De Dion-Bouton, en témoignages et confidences , Édité par l'Amicale De Dion-Bouton.

Jean-Claude Riffaud, « les automotrices Tartary et De Dion-Bouton », article publié dans la revue Magazine des tramways à vapeur et des secondaires. Jacques Chapuis, « les autorails De Dion-Bouton », article publié dans la revue Chemins de fer régionaux et urbains , n° 199 de 1987, publiée par la FACS.

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• Epoque: Rétro (1900-1979)
• Dimensions: 83 x 58 cm
• Impression: Couleur
• Thème: Transport