Grâce à son père, également éditeur de cartes postales, Georges Hamel allait voir naître en lui une vocation pour le dessin et la peinture. Enfant, il peignait déjà à la gouache des paysages de la campagne mayennaise et à 13 ans, à l'occasion d'une course automobile organisée le 11 mai 1913 dans le centre-ville, il croqua une série de personnages, confirmant ainsi ses dispositions pour le dessin et la peinture.
Scolarisé de 5 à 8 ans, à l'Immaculée-Conception de Laval, il est également élève au Lycée de Laval. Il partit ensuite pour Angers où il fit la connaissance de jean-Adrien Mercier. Qui devint son guide et son conseiller. En 1918, il fut reçu à l'École des arts décoratifs. Puis fut nommé Peintre officiel de l'Air.
Il s'imposa très vite parmi les dessinateurs les plus chevronnés et eut les honneurs d'une couverture dans l'Omnia. Il devint l'un des plus prestigieux champion de l.
En 1927, le magazine L'Illustration possédait en lui un collaborateur qui lui coûtait très cher, mais dont la première page était un dessin, une affiche ou une voiture de course signée Géo Ham. Les grandes marques automobiles Amilcar.Bénéficièrent également de son talent. Géo Ham était aussi un passionné d'aviation, ami de Jean Mermoz. Il devint le peintre officiel de l'armée de l'Air pour l'Aéropostale. Il traversa la Cordillère des Andes à bord d'un avion piloté par Henri Guillaumet. Il partit ensuite en Éthiopie comme envoyé spécial de L'Illustration à l'occasion de la guerre contre l'Italie en 1935.
On le retrouva en 1935 avec les troupes du général Franco en Espagne. Il participa également une fois à la course automobile des 24h du Mans en 1933. Après la guerre, commença pour lui un lent déclin causé par l'arrivée de la photographie dans les journaux. En 1950, il réalisa néanmoins un grand reportage pour le journal Élite française sur Paris, Amsterdam et Téhéran.
À la fin des années 1950. On ne vit plus sa signature. Il vivotait, abandonné de tous sauf de son vieil ami Jean-Adrien Mercier. Qu'il avait achetée dans les années fastes. Célibataire, il s'était fait une réputation de séducteur avec Paul Morand.
Dont il était devenu l'ami. Jean-Adrien Mercier était à ses côtés quand il mourut au mois de juin 1972 à l'hôpital militaire du Val-de-Grâce à Paris. On prétend que seulement 19 personnes assistèrent à ses obsèques. Mort sans héritier, ses uvres ont été dispersées ou vendues. Il repose au cimetière de Laval.Jacques Mortane, Les grands raids davions , illustrations de Géo Ham, Éd. , illustrations de Géo Ham, éditions Flammarion. Une porte de l'Europe, Nantes , pour le Rotary-Club, par Beuchet & Vanden Brugge, in-4°. Couverture illustrée à rabats, 214. 83 planches illustrées en couleurs, dont deux de Gaston Alaux, sept de Georges Gobo.
Dit Gobô, deux de Géo Ham, dix-sept d'Albert Brenet. Six de Jean Picard Le Doux.
Ce dernier illustrant également initiales et culs-de-lampes en couleurs. Tirages à 1500 exemplaires numérotés sur vélin, 1951. Géo Ham, peintre de la vitesse, maître de l'affiche : catalogue de l'exposition Géo Ham, de Laval , Paris, Éd. Sur la Ligne Réédition de l'article de l'Illustration. Les amis de Géo Ham. Géolocalisation sur la carte : France. Anneau de vitesse: 2,5km / circuit course: 3,405km / circuit routier: 6,5km. Est un circuit ayant accueilli des courses automobiles.Et aujourd'hui situé dans le département français. À cheval sur les communes de Linas. Appelé communément « autodrome de Montlhéry.
Par l'architecte Raymond Jamin, sous l'impulsion de l'industriel Alexandre Lamblin. Il a reçu le label « Patrimoine du. Ce circuit est né en 1924. Sous l'impulsion de l'industriel Alexandre Lamblin. Également passionné de sports et possédant un journal sportif, L'Aéro-sport.
En ce début des années 1920. L'industrie automobile est en effervescence, cherchant à battre des records de vitesse et lançant des défis insensés (course voiture contre avion). Disposent du circuit d'Indianapolis.
Alexandre Lamblin fait l'acquisition, en 1923. D'un terrain situé sur le plateau de Saint-Eutrope, à Linas, non loin de Montlhéry. Deux études sont proposées et la moins onéreuse est retenue. Elle consistera en un anneau de vitesse. De deux kilomètres et demi qui sera complété par la suite d'un circuit routier. Le circuit sera dessiné par l'ingénieur Raymond Jamin. La piste sera ovale, offrira deux lignes droites de cent quatre-vingts mètres. Grosse particularité du circuit, les virages seront concaves, de forme parabolique cubique à axe vertical, le raccord étant tracé selon une spirale logarithmique. Le dessin doit permettre à des véhicules d'une tonne d'atteindre une vitesse de. Le circuit, mesuré sur son axe médian, développe. Mille tonnes d'acier et huit mille mètres cubes de béton seront nécessaires à deux mille ouvriers pour réaliser l'ouvrage, les travaux dureront six mois. L'usage d'éléments préfabriqués en feront un chantier d'avant-garde. La construction de la piste de vitesse construite sur une charpente à la fois métallique et en béton débute le 15 mars 1924.L'autodrome est inauguré le. Plan du circuit routier de l'autodrome de Linas-Montlhéry.
La vente au Domaine national. Alexandre Lamblin, fondateur du circuit, tombe gravement malade et liquide son journal L'Aéro-sport. Son usine est mise en faillite ; il meurt des suites de sa maladie en 1933.
Ruiné et dans l'anonymat. Devant les frais d'exploitation élevés et l'état du revêtement de béton se dégradant et ne permettant plus de faire tourner les monoplaces à vitesse élevée, les administrateurs de l'autodrome doivent se résigner à sa vente en 1939.Les sept cent cinquante hectares du domaine seront acquis par le Domaine national qui les mettra à la disposition du ministère de la Guerre. Aura des conséquences dramatiques pour le circuit : il sera endommagé par manque d'entretien. Le bail de l'UTAC.
Contre versement d'une redevance annuelle aux Domaines, l'Union technique de l'automobile, du motocycle et du cycle. (UTAC) obtiendra du ministère de la Guerre, en décembre 1946. Un bail de longue durée pour gérer au civil les pistes et installations de l'autodrome, sous condition de sa remise en état, de l'entretien et de l'organisation de compétitions.
Ces travaux vont permettre au circuit d'accroître son activité, en particulier dans les domaines techniques et expérimentaux entre autres, les bancs d'essai de l'Auto-Journal. Au fil des années sa réhabilitation verra, notamment alors que Louis Wagner. En est le directeur durant les années 1950. L'élaboration d'une tour de chronométrage en 1954. , d'une tribune de mille places, la construction de 34 stands de ravitaillement avec stations de carburant en 1956. , la construction de deux passerelles enjambant les pistes concours de Dunlop.Afin de permettre au public de se déplacer, d'une chicane au Nord de l'anneau de vitesse, d'une bretelle à l'Est et d'une chicane supplémentaire dans sa partie Sud (longtemps remplacée par des bottes de paille). La surface des pistes sera rénovée, en particulier le circuit routier entreprise Colas. À la suite de l'accident des 24 Heures du Mans.
À d'autres accidents mortels sur les circuits de vitesse et à la montée en puissance des machines de compétition, l'évolution des consignes de sécurité confronte l'autodrome de Linas. À des homologations de plus en plus difficiles. La Commission nationale des circuits de vitesse délivre son homologation. Également, pour une durée de quatre ans. De nouveaux aménagements sont effectués afin de pouvoir continuer de recevoir les Coupes du Salon ou le Grand Prix de l'Âge d'or, tels l'implantation d'un grillage de protection des spectateurs dans la ligne droite menant aux tribunes jusqu'au virage dit « des Deux-Ponts », ou en haut de l'anneau, devant pouvoir résister à des impacts à.
L'homologation n'est pas renouvelée en 2004. Afin de remettre le circuit aux normes, plus de quinze millions d'euros auraient été nécessaire.
Désormais, le circuit est consacré aux tests de constructeurs par l'UTAC. Employé par ce dernier organisme, l'autodrome est dirigé de 1964 à 1976 par Philippe Maillard-Brune. (après une courte période dès la mi-1944, avant gestion par l'armée américaine, puis française, et notamment par le colonel Antoine Peix), qui a notamment à gérer la destruction du château de Saint Eutrope. Au début des années 1970. À l'abandon depuis la guerre et transformé alors en squat.
Le futur probable du circuit risque d'être son démantèlement : une association pour la sauvegarde de l'autodrome de Linas-Montlhéry (ASALM) est mise sur pied sous le parrainage de Christian Estrosi. Au fil des ans, l'UTAC exploite l'autodrome essentiellement pour des essais techniques. Une nouvelle homologation (roulage sans aspect compétition) de l'anneau de vitesse et du circuit 3,405 est effectuée en 2010. Ce qui permet aux collectionneurs et aux amateurs de sports automobiles de revenir sur les pistes de l'autodrome.
Depuis, une dizaine d'évènements ont lieu chaque année le weekend. Ils sont gérés par la cellule évènementielle de l'UTAC: Paris Auto Events. En semaine, l'autodrome se transforme en centre d'essais pour tout ce qui a trait à la mobilité terrestre.
Deux mois à peine après son inauguration, près de cent records sont établis voire battus sur l'autodrome. Le premier exploit est à mettre sur le compte de la marque Rolland Pilain, puis le record du tour de piste sera pendant longtemps l'apanage de Gwenda Stewart. Par la suite de nombreux pionniers des records investissent le circuit, venant particulièrement de Grande-Bretagne où les restrictions sonores imposées par les autorités brident leur fougue. Lors du meeting des Coupes de Paris, Raymond Sommer. Établit ce qui semble être encore le record de vitesse absolu sur l'anneau de vitesse, à. « barquette » créée par Pierre Barbot et pilotée par Jean Vinatier bat neuf records du monde dont : douze heures à. De moyenne et vingt-quatre heures à. Termine aux mains de huit pilotes différents une ronde de trente-huit jours, après avoir parcouru.À la vitesse moyenne de. Et remporté quatorze records du monde 1 100 à. La grille de départ du Grand Prix de France 1934. Sur l'autodrome, avril 2002.
Se disputent en une semaine le Champions Match , le Grand Prix du M. Et le Grand Prix de l'Ouverture. De nombreuses courses seront organisées sur les différentes combinaisons du circuit, avant la Seconde Guerre mondiale. Comme le Grand Prix de l'Automobile Club de France.
(vitesse et tourisme) et le Bol d'or automobile. Ou après comme de nouveau le Bol d'or automobile ou les Coupes de l'ACIF (mars, avril, mai, juin ou septembre selon), les Coupes de vitesse (avril), les Coupes de Paris (avril), la Coupe de Printemps (mai), le Prix de Paris (juin), la Coupe d'Automne (septembre), les Coupes du Salon. (octobre), ainsi que les prestigieux. Elles ont parfois une durée de vie limitée comme les Coupes de l'AGACI (septembre), les 12 heures de Paris et les 24 heures de Paris. Elles mettent en compétition indifféremment des monoplaces voitures de Grands Prix d'avant la Seconde Guerre mondiale. Et formules constructeurs, des voitures prototypes et de sports, des voitures de grand tourisme et de tourisme. Le Grand Prix de l'Automobile Club de France emprunte le circuit routier de douze kilomètres et demi. Les bolides tournent dans le sens des aiguilles d'une montre. La victoire est remportée par la Delage.Douze cylindres pilotée par Robert Benoist. Le record du tour est établi à. Le Grand Prix sera de nouveau organisé sur l'autodrome en 1931.
Sous différentes formes ; malgré les difficultés d'accès à l'autodrome, le public sera au rendez-vous, passionné par les duels entre Alfa Romeo. Et l'entrée en lice des Auto Union. Le Bol d'or automobile (Association motocycle-cariste de France, AMCF) est disputé de 1937. Sur l'autodrome empruntant le circuit « court » de trois kilomètres avec les virages des Quatre-Bornes, de la Ferme, du Faye et la moitié de l'anneau de vitesse. La première année, l'épreuve est réservée aux véhicules de moins de. Et est remportée par deux « tanks » Chenard et Walker. Après la guerre, deux Grands Prix réservés aux monoplaces se disputent les faveurs du public sur le plateau de Saint-Eutrope, le Grand Prix du Salon organisé par l'Union sportive automobile (USA) et le Grand Prix de Paris organisé par l'Association générale automobile des coureurs indépendants (AGACI) : les Talbot. Y règnent tout d'abord, mais rapidement Maserati.L'audience, record pour l'autodrome, dépasse vingt-cinq mille spectateurs. Au début des années 1950. À l'image des courses de club britanniques (dans la lignée des Racers 500), apparaissent à l'autodrome les courses d'amateurs mettant en compétition de petites monoplaces à « faible » coût les Monomill Panhard. Elles permettent aux amateurs de se lancer dans la compétition et donnent lieu à des joutes spectaculaires. Elles seront remplacées par des formules équipées de différents types de moteur dont Renault.
Pour aboutir à la Formule 3. Plusieurs courses de Formule 2 se disputeront à Montlhéry, dont en 1957. Le Grand Prix de Paris avec Jack Brabham. Jim Russel comme vainqueurs, mais les deux courses les plus emblématiques furent les Grands Prix de France : en 1964.
Avec la participation de champions internationaux comme Jack Brabham, Denny Hulme. Avec celle de Jack Brabham, Jim Clark. Graham Hill, Denny Hulme et Jackie Stewart ainsi que celle de Jo Schlesser et Jean-Pierre Beltoise. Restent la compétition la plus liée au renouveau de l'autodrome : ils verront se disputer la victoire entre voitures sports/prototypes Alpine. 250 GTO, 330 P, LM et P2, Ford. (GT 40 et MK2), Lola. (de la 630 à la 660) et autres Porsche. (de la 908 à la 917). Pour la première année, Louis Rosier. Remportent la victoire sur une Maserati.Dont le moteur a été préparé par l'usine, à la vitesse de. En plein essor du sport automobile français, le plateau de Saint-Eutrope voit rugir les prototypes Matra Sports. Équipés tour à tour du. Matra et voit surgir une nouvelle génération de pilotes Jean-Pierre Beltoise, Henri Pescarolo. Jack Brabham, pour sa dernière course, et François Cevert.
Sont victorieux sur Matra Sports 660, à la vitesse moyenne de. Les deux derniers événements à se produire sur l'autodrome seront la Coupe du Salon. Et le Grand Prix de l'Âge d'or. Ce dernier était, en 1996. La troisième manifestation automobile de France.Après les 24 Heures du Mans. Et le Grand Prix de France de Formule 1. La Coupe du Salon n'est bientôt plus organisée, faute de concurrents suffisants.
Le quarantième et dernier Grand Prix de l'Âge d'or se déroule le 20 juin 2004. Des stages de pilotage ont été organisés sur monoplace Mygale.
Aujourd'hui seul des stages de supercars. R8 semblent être à l'ordre du jour. Ken Block dans un virage sur le circuit de Linas-Monthléry.
Vient y faire un gymkhana. Car, pour lui, le circuit et sa rampe de cinquante et un degrés sont un vrai défi. L'UTAC ouvre ses portes lors de la journée « Trackday » destinée aux amateurs de sessions de roulage libre : elle est organisée par Paris Auto Events. Elle s'est déroulée le 18 octobre.Elle se déroulera le 16 mai. Organisée par Mag Factory et Paris Auto Events, avait réuni le 27 avril 2013. Plus de sept cents des véhicules des années 1970 à 1990, pour une exposition et des démonstrations. Loccasion pour le public venu nombreux de retrouver sa jeunesse et ses souvenirs au volant de modèles cultes : Golf GTI.
Et bien dautres modèles étaient à découvrir. Une grande fête qui a également mobilisé les clubs de plus en plus nombreux à fédérer les Youngtimers. Les quatre-vingt-dix ans de l'autodrome ont été célébrés en 2014 par différentes manifestations.
Le 28 mars : Afterwork, qui rassemble une centaine de Citroën 2 CV. Les 7 et 8 juin : parade de véhicules anciens. Le 21 septembre : parade du « Mustang Day » organisé par le Mustang Club de France, sur le tracé de. Avec plus d'une centaine de véhicules ayant effectué trois tours de circuit. Les 26 et 27 septembre 2015, l'Autodrome accueille pour la première fois Les Grandes Heures Automobiles, une manifestation festive et annuelle regroupant des autos, motos et pilotes de légendes en démonstration.
Ferrari 250 LM, Peugeot 205 T 16 ou Bugatti Type 35 pour les autos. MV Agusta, Norton Commando ou Dollar pour les motos. René Arnoux, Bruno Saby ou Henri Pescarolo firent partie des pilotes présents ce week-end.Lors du premier Grand Prix de l'Automobile Club de France. (ACF), à la courbe Saint-Eutrope du circuit routier, Antonio Ascari. Accroche une barrière, part en tonneaux avec son Alfa Romeo. P2, est éjecté et meurt. La courbe Saint-Eutrope portera son nom.
Lors d'un tentative de record de vitesse, Marius Breton perd le contrôle de sa Panhard. 35CV Lame de rasoir sur l'anneau de vitesse à cause d'une crevaison à plus de.
Lors du Grand Prix de l'ACF, De Courcelles trouve la mort dans la course de Formule libre. Lors d'un tentative de record, René Cozette se tue au volant d'une voiture de sa fabrication. Lors d'une tentative de record de vitesse, Amedeo Ruggeri se tue au volant de sa Maserati. Lors d'une tentative de record de vitesse, Georges Berthelon se tue au volant d'une Renault Vivasport. Lors d'une course de Formule Libre, Guy Mairesse.Meurt en percutant un mur de béton avec sa Talbot-Lago. T26GS, au virage des Deux Ponts après une manuvre pour éviter une Renault 4CV.
Un enfant de 6 ans meurt également dans l'accident. Lors de la Coupe du Salon. Part en tonneau avec sa Ferrari. Monza au niveau de la contre-courbe Antonio Ascari. Se blesse grièvement et meurt quelques jours après.
Lors de la même épreuve, le suisse Benoît Musy. Quitte l'anneau de vitesse à environ.Et s'écrase au pied de l'architecture de béton, se tuant sur le coup. Lors d'une course de voitures de tourisme, Caroline Taste perd le contrôle de son Austin-Healey Sprite. Dans la Boucle des Biscornes et meurt de ses blessures. Lors de la Coupe du Salon, Henri Oreiller.
Se tue au volant de sa Ferrari. Se tue au volant de sa René Bonnet.
De Paris, un accident à la sortie des stands provoque la mort de deux pilotes, Peter Lindner. Et celle de trois commissaires de piste : la Jaguar type E. Lightweight du pilote allemand partie en aquaplanage. À l'arrêt du pilote italien. Lors d'essais en prévision des. Se tue au volant d'une Alfa Romeo.Lors d'un banc d'essais de L'Auto-Journal. Le journaliste Marcel Reichel meurt dans un accident en tant que passager. Lors d'un Grand Prix l'âge d'Or, Bernard Houzelle est victime d'une crise cardiaque.
Et tire tout droit à la Déviation de l'Est, percutant un commissaire de piste qui meurt également. Herbert Le Vackl dépasse les. Sur un tour au guidon d'une Brough Superior. Marcel et Robert Pahin battent plusieurs records et notamment celui des. Avec 2 849,23 km à. Au guidon d'une Peugeot 515.Henri Nougier bat quatre records dont celui des. Du 4 au 15 octobre 1948. Établit huit records du monde.
Ainsi que celui de l'heure à. De vitesse moyenne sur une Jonghi. Les 8 et 9 novembre 1953. Les 350 et 500 Norton.
Fish signent cent quarante et un records. Spéciale nommée « Vespa Montlhéry » établit dix-sept records du Monde, conduite par sept pilotes. Parmi les records établis, figure celui de la moyenne horaire. Le Grand Prix de France, organisé par l'Union motocycliste de France (UMF) prédécesseur de la Fédération française de motocyclisme. Se déroule à l'Autodrome de Montlhéry.Il réunit l'élite internationale et voit des victoires belges, britanniques, françaises et suédoises. Il y est encore prévu en 1957. Mais est annulé consécutivement à la crise de Suez. Et à la pénurie d'essence. Le Motocycle club de France (MCF), organise lui aussi son Grand Prix de France de 1924.
Avec une participation plus nationale qu'internationale, même si des Britanniques s'y illustrent. Il reprend après la guerre sous différents noms pour devenir le Critérium de vitesse MCF de 1960.Pour cette dernière année, la vice-présidence est confiée à Georges Monneret. Une petite centaine de candidats de l'élite nationale est inscrite pour cette course d'endurance de quatre heures dont Daniel Rouge. Et Charles Kajka sur Moto Guzzi.
Et Gérard Debrock sur Kawasaki. Jacques Roca et Jean-Claude Chemarin. Organisé par l'Amicale motocycle-cariste de France (AMCF) dont Eugène Mauve et Maurice Vimont furent les chevilles ouvrières est la course motocycliste la plus emblématique qui se soit tenue à Linas. Il a vu la compétition entre les meilleures marques allemandes BMW.
Devenue Ydral, Gnome et Rhône. Avec des incursions américaines Harley Davidson. , hongroises (Panonia) et tchécoslovaques Jawa. , souvent représentées par des écuries d'usine.
En 1970, une machine japonaise, la Honda CB 750 Four. Enlève pour la première fois la victoire. À cette course phare du sport motocycliste français, l'AMCF associe en début de saison la Côte Lapize. Qui permet de découvrir les machines préparées durant l'hiver. Quatre cylindres d'usine conduite par Pierre Monneret.
Compte trente-six inscrits, la catégorie. Vingt et un inscrits, la catégorie. Onze inscrits et la catégorie side-cars onze inscrits. La tradition veut également qu'en ouverture de certaines compétitions automobiles des courses motocyclistes soient programmées, généralement le matin, par exemple pour la Coupe du Salon. Elle devient les Journées motocyclistes du Salon. Les dernières Coupes Eugène Mauve XVII. Sont également disputées en 1976.Voient fleurir le Bol d'argent 1981. Réservé aux pilotes nationaux-, les Coupes Promosport 1988. Plusieurs générations de pilotes ont été encouragées à pratiquer le sport motocycliste par la proximité de lautodrome et ont parfois porté haut limage de la France, records mondiaux, championnats nationaux, Bol dor. Et championnats mondiaux : les plus illustres ont été Jean-Pierre Beltoise. Réunion internationale de motos anciennes, alliant confrontation sur le circuit, concours de restauration et brocante sont nées ici et s'y sont tenues de 1993.
Vainqueur du Tour de France. Et mort au champ d'honneur en 1914. A donné son nom à la côte la plus accentuée du circuit routier de l'autodrome de Linas-Montlhéry : cette côte a représenté la difficulté majeure des courses cyclistes qui s'y déroulaient. Le Premier Pas Dunlop cycliste, compétition qui a précédé le championnat de France sur route des débutants (n'ayant jamais possédé de licence et n'ayant jamais couru en course officielle), devenu depuis 1974 le championnat de France sur route des juniors, s'est déroulé sur le circuit routier de l'autodrome de 1929.
En 1933, les Championnats du monde de cyclisme sur route 1933. Se déroulent également sur le circuit au cours duquel s'impose Georges Speicher. Parmi les coureurs de proximité, Claude Guyot. S'y révèle en 1964.
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